SUJET :

Ca me troue le cul.

Breton immigré au Lac Léman

Quel langage Koufig, quel langage ...

Bruno

mouais....... c' est curieux ça......
.....
t' es pas équipé d' origine..........



pat

Patrick pat54 pat54bis en attendant le ter

Désolé Oserais-je dire que c'est venu du fond du coeur ... et que c'est sorti tout seul

J'avoue être très difficile à surprendre ou même simplement à étonner (et pourtant j'aime cela) : mais voilà... dès cas aussi grossiers doivent sans doute me toucher au plus profond de moi-même (d'où l'expression ).

Et pourtant il y surement une raison derrière ces silences... la honte surement.

PS : j'en profite pour te remercier Bruno pour les très jolies photos de ta page perso

Breton immigré au Lac Léman

Un vieux dicton de jadis disait: 'fais du bien à un marin, il te chhhiiii... dans la main.....!!!' fin de citation...


Alain

Bon, mais si personne lui a dit, y peut pas savoir.....Heureux qui comme Ulysse a fait un beau sauvetage.
Au fait Ulysse Le cyclope de tes voyages si ça se trouve c'est Koufig..

Merci Koufig

Bruno

excellent

C'est malain : Maintenant le jour où je coince Ulysse au fonds d'une grotte c'est lui qui risque de me regarder d'un drole d'oeil
(et ce sont nos femmes qui auront les nerf en pelottes )

Breton immigré au Lac Léman

T'inquiète
Je n'écouterai pas le chant des sirènes.
Et si vous devez m'attacher, il suffira d'utiliser des liens d'amitié

oh! que c'est bô !!!

J aime la vie, ma famille et mes amis

.Ouais et j'imagine le dialogue: 'Salut Ulysse, ça va' 'ouis Koufig, et toi'
'ça gaze'
.

Ce n'est pas une surenchère à l'anecdote 'héroique' à laquelle je me livre, mais puisqu'on y est, je poursuis dans l'élan. D'ailleurs, je n'ai aucun mérite parce-qu'un coup d'oeil sur le jardin me rappelle qu'il fait un temps de chiotte, donc autant gifler le clavier de mes doigts de pianiste plutôt que d'en...er les mouches(oh,et puis je le dis: ennuyer les mouches::e-). Tiens juste avant de commencer, tout à l'heure un héron(petit patapon!) de belle taille s'est posé sur une branche d'un pin du jardin. Etonnant...si loin de toute étendue d'eau(mis à part la piscine).
Bon, je sais, Koufig, ça te troue le cul::e-. J'en ris encore!
Ulysse nous conte avec moultes détails et en termes choisis, une de ces aventures et toi tu choisis juste ce moment pour balancer la vanne traitresse à ton ami. C'est pas joli ça m'sieur!.
Mon propos est suffisamment étoffé pour y rajouter une fadaise dont vous n'avez cure(trad: Rien à foutre!).
Depuis le temps que je fréquente la plage de l'Almadrava(ouais! vous savez? à côté de Dénia), j'ai eu l'occasion de ramener plusieurs personnes en perdition. Il faut dire que le coin ne fait pas de cadeau aux imprudents. Vers quatorze heures, un pernicieux vent de terre, appelé le Xaloc(prenoncez: RRhaloc, c'est bon, vous y êtes::K+)). Et là, vous devinez la suite, tous les marins(pas les vrais::e-) qui ont négligé cette
particularité du secteur, apprennent à leurs dépends qu'il ne faut ni surestimer son embarcation, ni ses propres capacités.
Je ne me souviens plus du nombre exacte de véliplanchistes que j'ai eu à ramener(encore un cet été), mais hormis l'anecdote exposée plus haut, j'ai eu l'occasion d'aider des gens dont le catamaran s'était retourné(des jeunes),également, un dériveur renversé( qui m'a coûté de glisser sur la quille en me cognant salement au tibia, ce qui m'a valu de rentrer deux jours plus tard sur Nice avec une fièvre de cheval) et bien d'autres.
Parmis ceux-ci, je me souviens d'un couple de hollandais déja poussés trés au large par le vent de terre, qui se trouvaient sur l'équivalent d'un Sévilor. Lui, fluet, était resté à bord. La dame, battie en force tenait entre ses dents la fine corde qui entoure 'l'embarcation' tout en exécutant une puissante mais vaine brasse.
Confiante en ses capacités à se rapprocher du bord tout de même éloigné d'environ trois cents mètres, la brave et vaillante batave rejetait
mon aide. Il ne me restait plus qu'à attendre, constatant qu'à chacune de ses brasses le dingy perdait dix mètres. Mon pneu de l'époque dérivant moins vite, la distance entre eux et moi s'agrandissait assez rapidement.
Fatalement, arrivée à bout de souffle la charmante sportive atteinte d'un éclair de lucidité, levait molement un bras qui en langage gestuel Néerlandais signifie: Je jette l'éponge!
J'ai donc ramené gens et bulle sur la terre ferme, répondant Ya,ya
aux propos qui m'étaient adréssés dans la belle langue germanique.
Que ce serait-il passé si je ne passais pas cet A-m dans le coin ?
Autre circonstance, rencontrant un jour un 'dur' de 5m, visiblement en panne, je m'approchais. Mais les occupants du bateau me désignaient avec insistance un point sur l'eau. Comprenant qu'il s'agissait d'une personne en train de nager, j'allais à la rencontre de celle-ci.
C'était un homme d'une soixantaine d'années, visiblement épuisé, parti en direction d'un rivage qu'il n'aurait jamais atteint, pour y chercher du secours. Chose à ne jamais faire(toujours rester dans l'embarcation).
Ce monsieur était allemand. Il voulait me payer pour mon aide, mais
dans ces cas là je prends mon petit sourire 22 bis et refuse superbement. Le pot de l'amitié(internationnale) je veux bien, mais soucieux d'élégance j'ignore souverainement les récompenses(qui me le rendent bien:-)).
Toujours est-il que sur plus d'une vingtaine de sauvetages, seule
une équipe d'Allemand sont revenus un jour sur la plage pour m'offrir un
apéro.
Voila donc un peu de lecture pour les courageux.
Burtiflup

C'est normal, les allemands ont compris qu'une bonne biere vaut mieux qu'une bonne mise en biere..........ça y'est j'me tiens plus:^dB}

mets des Pampers........

salut Al....!



Patrick pat54 pat54bis en attendant le ter

burti ...
Je n'ai jamais pensé une seconde que Koufig n'en avait rien à foutre de mes propos, bien au contraire.
C'est une expression assez trivial qui traduit un très grand étonnement et une colère difficilement contenue (sans vilain jeu de mots, hein !)

J'imagine le gars fluet sur son Sévilor et sa brave et vaillante batave d'épouse
On imagine un couple d'un célèbre dessinateur humoristique des 50' dont j'ai oublié le nom ( ah ! Alzeimer ((( )

J aime la vie, ma famille et mes amis

Bonjour Ulysse, jour Pat, bonjour messieurs,
Au moins rends grace à ma perspicacité, Alain. Je sais bien qu'il s'agit d'une inspiration soudaine et insolite de notre ami Michael(il taquine
avec assez de brio les formules insolites). C'est une affaire de rythme. Tu étais sur un rythme naratif, lent comme il se doit et lui t'a brulé la politesse en passant de la valse à trois temps, à celle des mille temps, avec un gros clin d'oeil complice. C'est amusant mais si déloyal que j'en ris encore. Faut dire que je suis bon public::e-.
Alain

Pour ce qui est du dessinateur, j'ai son nom sur le bout de la langue
mais il y reste accroché .

C'est comme Koufig quoi! T'as un trou (j'ai pas pu s'cusez moi::w-)
Bon c'est le titre qu'est pas adapté , après tout il était là et ça c'est vraiment le principal. Le matériel inadapté la dedans n'est que la preuve de la super bonne volonté du mec qui aurait pu se barrer en disant 'j'pourrais jamais'

bonjour à tous
Ne serais ce pas DUBOUT le dessinateur?

Un grand bonjour Serge, ouais ça pourrait bien être Dubout. Je pensais aussi à Sempé, mais lui c'est un peu plus reçant, il me semble.
B2.78/35, retourne dans ton stalag(h). Quand t'es parti on ne t'arrête plus::M-)
Burtiflup.

ça y'est j'ai pris mes gouttes::z-