Petite remarque au passage: Face à une déferlante il n'y a d'autre choix que d'accélérer en espérant que l'angle et la hauteur de la 'montagne' d'eau n'amène la répartition des poids au terme négatif.
C'est à dire, au point de rupture. Tant que l'angle le permet, le vol plané est un moindre mal, en espérant que la suivante ne sois pas trop proche.
Pour m'être trouvé dans cette situation j'ai eu le choix d'accélérer ou d'adopter une position passive en conservant la même allure. Dans cette dernière perspective je ne donnais pas cher de la tenue du bateau.
J'ai donc mis les gaz. Comme je m'y attendais le sr a fait un saut impressionnant, puis est retombé lourdement, d'abord sur l'arrière. Mais pas en chandelle heureusement.
Le terminal conique des boudins, d'ordinaire encombrant, sert à merveille dans ces cas là.
Bien entendu, foncer sur une déferlante est un pari loin d'être gagné, mais il me semble à l'évidence être le meilleur choix.
Il reste que peut-être une accélération trop importante peut jouer contre l'équilibre du bateau dans la mesure où l'énergie déployée déviée de sa trajectoire contribue au reversement de l'embarcation.
Alors, bien sur, je ne donne pas de leçon, me bornant à ne formuler que des hypothèses. Mais je patage entièrement mon avis sur la question::e-.
Burtiflup