Le sujet ci dessous développé fait partie des thèmes abordés parfois, qui entrent dans la définition 'autre'...Autant préciser tout de suite qu'il n'est pas question de nautisme mais d'absurdité dans les rapports humains et de sagesse dans la conclusion.
Toute ressemblance avec un ou plusieurs autres post(s) ne serait que pure coïncidence. Les personnage cités sont totalement fictifs.
L'histoire développée n'a pour but avoué que de vous servir un jour à comprendre pourquoi la....compréhension de ce que vous avancez, ne peut être partagée par tous.
Un beau matin comme il en existe souvent dans l'atlas Tellien, un père son fils et un âne prennent le départ pour un périple qui doit les amener à traverser plusieurs villages. Le motif, achat de semences.
Comme d'ordinaire, le père enfourche le baudet et voila nos deux voyageurs qui traversent le premier village. Et là, les réflexions pleuvent dans le genre: 'Regarde moi ce gros paresseux qui est installé sur le bourricot pendant que son pauvre fils, si frêle et si jeune, va à pieds'.
Impressionné par ces remarques désobligeantes le père à l'approche du village suivant, décide d'échanger la place avec son fils.
Surpris il constate que les gens s'indignent qu'un fils qui possède la vigueur de la jeunesse soit installé sur l'âne alors que son vieux père est contraint de marcher à côté.
Décidés à se soustraire à toutes critiques, le père et le fils optent pour une autre solution: Il traversent un nouveau village en se tenant tous deux assis sur le baudet.
Ont-ils fait quelques pas que des exclamations indignées se font entendre: Regardez moi ces gros paresseux qui se font porter par ce pauvre bourricot qui n'en peux plus. Une honte!!!
Que reste-t-il à faire pour ne plus être la cible de critiques en pareil cas? Devant traverser un ultime village l'homme et le jeune-homme
pensent avoir trouvé un moyen inattaquable.
Les voila, marchant chacun à côté de l'âne, sûrs de mériter le respect des gens qu'ils croisent.
Et surprise pour eux, ce sont des éclats de rire et des moqueries qui fusent. Elles se résument en ces termes: Quels imbéciles nous voyons là. Deux personnes fatiguées d'aller à pieds sur ces mauvaises routes alors qu'ils pourraient se déplacer sans fatigue sur un âne qui est fait pour ça!
Comme il n'échappe à personne le sens explicite de l'histoire. Aucun commentaire ne s'impose de ma part.
Bonne lecture!
Burtiflup