Salut,
En cette dernière soirée de l'année 2009, je viens de découvrir ces tristes posts, mais qui font partie de notre vie ici-bas.
En effet, quand l'ami est marin, la tristesse s'accentue. Cependant, nombreux sont les marins qui perdent leur vie en mer, accidentellement, donc subitement que par maladie. Le résultat peut être considére comme identique; c'est la fin d'une rencontre d'un être que l'on a aimé, que l'on souhaite revoir un jour et que l'on est certain de ne plus revoir. Plus triste encore est ce vide au sein de sa famille et en particulier les enfants.
Légion 65 a presque bien décrit notre situation; naître c'est se savoir un jour mourir et mourir est 'renaître' (et non naître) pour l'éternité. Bien sûr, là commencent les divergences entre gens qui croient en l'au-delà, veulent faire un effort une recherche pour connaître la Vérité et d'autres qui profitent et jouissent de la vie terrestre.
Autre point important est que l'homme quel qu'il soit ne peut vivre en solitude. Il est fait pour vivre en Société et la base de la société est la famille.
L'homme meurt un jour; jeune ou vieux, par maladie ou par accident, mais dans une société, il y a toujours ceux qui partent et ceux qui restent (pour encore un peu de temps) et sont attristés par l'absence de l'être perdu.
Noël n'est pas une Fête de cadeau. Les périodes de fêtes sont des occasions pour les amis et les familles de se réunir. Mais les sentiments de tristesse peuvent nous surprendre à tout moment. Aussi faut-il avoir force et courage de supporter ces moments difficiles en n'oubliant pas cet ami que l'on a aimé, mais aussi savoir gérer son temps pour vivre la Fête (qu'elle soit de Noël, Nouvel An, Pâques, un anniversaire etc).
C'est là où l'homme se trouve petit; toute chose, bien qu'importante, reste toujours secondaire.
La Santé ! quelle belle richesse !.... Et c'est, je pense, sur cette aire infinie de la mer, du ciel, du soleil et de la lune ornés tous des oiseaux, poissons etc... que nous apprécions cette belle vie avec ses plaisirs et ses grandes difficultés.
Courage Alain, nous ne sommes que de passage ici-bas.
Salutations
Jean Zellich