Pour Gaïa 76, Un concessionnaire n'a ni l'exclusivité du travail-théoriquement bien fait même s'il est difficile-ni celle des contraintes économiques.En revanche,il a besoin de clients et ceux-ci,quelles que soient leurs conditions économiques et sociales,se lèvent aussi le matin pour aller bosser.Dans le domaine du nautisme se côtoient différents niveaux de revenus et le point commun est sans doute surtout une passion pour la mer au risque parfois de sombrer dans le sur-endettement.Le problème semble venir surtout de la représentation sociale du bateau comme 'objet de luxe' et les prix sont en rapport bien supérieurs avec le coût réel des objets vendus.Les marges semblent donc réelles et la croissance du marché l'accompagne aussi.Toutefois,un concessionnaire ,quand il critique aisément son client,devrait se souvenir combien de temps il lui faudrait pour économiser la même somme d'argent pour réaliser ses propres envies.Le problème,comme dans beaucoup d'autres domaines,paraît être surtout celui du paiement total et anticipé sur la prise en main effective et complète du produit.Qui n'a pas rencontré de pbmes de réglages,montages et autres malfaçons après avoir fini de payer? Qui n'a pas vu son concess traîner des pieds et préférant 'rentrer de la charge (et de l'argent)'pendant que le client premier s'impatientait?Le concess.de Benoît -comme bien d'autres d'ailleurs-devrait montrer la même prise en compte d'un suivi honnête que celle qu'il affiche pour encaisser le chèque.Bien sûr,certains vont de suite monter au créneau mais hélas pour eux je persiste et signe face à une tendance visant de plus en plus à se généraliser.A+!
petit bleu