En géographie régionale, pour classifier, il arrive qu'on généralise pour préciser la production caractéristique du coin!!!!
Je dis bien "caractéristique", et non pas exclusive!
DONC
Je me souviens d'une affirmation d'un âne, dans une de mes classes du Lycée Rouvière à Toulon (

) qui me soutenait mordicus qu'entre Toulon et Hyères, c'était une région à blé

( non, ce n'était pas C..ft ! )
Or il s'agit là, avant tout, d'une région À FLEURS! oh, je ne dis pas qu'il n'y ait pas le moindre épi! mais ce n'est pas la culture principale! La région à BLÉ, en France, c'est la Beauce; mais il y en a d'autres! La Bourgogne, le Bordelais, la Champagne des régions à vigne -il y en a d' autres! la Provence (et en partie le Languedoc Roussillon) une région à oliviers...... etc................et la Camargue une région à RIZ! alors, ne nous chinoise-pas, Biboudins gonflés !!!!

(avec un bon cidre provençal!!!!!!)
Pour justifier mon salaire, arraché à la sueur de Cr......ft-:
Pline l’Ancien (23/79 ap. J.-C.), un siècle plus tard, écrivain et naturaliste romain, auteur de l’Histoire naturelle Naturae Historiarum libri en trente sept volumes, considéré comme le plus illustre apôtre de la science romaine, décrivait dix sept variétés.
Pour les Gaulois, le pommier, mot d’origine celtique, était un arbre sacré comme le chêne, sans doute parce qu'il est souvent chargé de gui sacré vénéré par les druides. Les Celtes, qui envahirent la Gaule au cours du Ier millénaire, appréciaient beaucoup la pomme. Ce fruit représentait un symbole dans leurs traditions. La mythologie celtique associe la pomme au paradis d'Avalon, Merlin enseigne sous un pommier1.
Développement en Normandie
Après le déclin dû aux invasions barbares, 32 variétés sont créées entre le VIIIe siècle et le XVe siècle. Ce renouveau s'effectue principalement en Normandie. En effet, dès la fin des invasions « vikings » le clergé et la noblesse y encouragent la plantation de pommiers. Ainsi, avant son annexion par la France en 1204, ce pays est une véritable pépinière de pommiers. Après son invasion, elle devient le verger de la France. À partir du XIIIe siècle, l'usage de la poire commence à concurrencer celle de la pomme, aboutissant au XVIe siècle à l'opposition entre la poire, fruit délicat fondant des aristocrates et la pomme, fruit du paysan (coupe-faim dont la mastication sonore rend le fruit grossier)1.
Au XVIIe siècle, soixante-dix espèces de pommes sont reconnues par Le Lectier2
À la veille de la Révolution, le catalogue des Chartreux de Paris, ne comptabilisait plus que 42 variétés, la poire étant devenue plus populaire1.