SUJET :

Hello,

Certains d'entre vous ont peut-être l'intention de se rendre au Nautic ce ouikende.

Au premier qui se manifeste je cède deux invitations. Nom et adresse en MP et je mets cela à la Poste aussitôt.

Gilles.

Super sympa de ta part ..
Pour moi c'est fait , je " décolle" dans 5 mn...

Serai sur plaçe vers 11 h

bonjour je serai bien intéresse, je vous ai envoyé un email.
cordialement
sylvain

Bonjour Sylvain,

Je les mets à la boite dans la matinée.

Bon salon.

Gilles.

J'ai eu un retour d'un collègue qui y est allé: salon à priori plus petit que d'habitude, çà sent encore la crise

Meltem,

Azur plaisance (Six Fours) y a beau stand, il y présente les fameux Motonautica Vésuviana , ceux dont on a parlé y a pas longtemps, et pour lesquels j'ai remarqué leur incroyable capacité de passage en mer. Je ne sais pas ce que leur confère cette capacité, regarde y de près

Leur fabrication sous infusion ???

@ Marilo83 :

"j'ai remarqué leur incroyable capacité de passage en mer. Je ne sais pas ce que leur confère cette capacité, regarde y de près

Leur fabrication sous infusion ???"

La fabrication " sous infusion" à elle seule est sans aucune influence sur la " capacité de passage en mer". D'autant plus, si tu entends par là la capacité à maintenir la vitesse de croisière la plus élevée possible sans taper (ou presque) dans une mer formée ( à courte longueur d'onde pour la hauteur significative).

Une fabrication en infusé - à dessins de carène égal - sera cependant un facteur favorisant la vitesse - par rapport à une fabrication en stratifié classique ou en aluminium - par l'obtention d'un poids moindre et donc une surface mouillée moindre à rigidité égale. Procédé de fabrication "idéal" pour des canotes de vitesse. Canotes de vitesse dont les capacités de franchissement sont moindres en raison de leur "légèreté" comme de leur fort allongement induisant l'instabilité en roulis.

L'infusé est par ailleurs un procédé de fabrication qui - une fois les investissements ad hoc réalisés - permet un temps de fabrication plus court à l'unité et à cout moindre en heures de MO. Enfin, suivant la vocation (plaisance) du canote, il permet de disposer de plus de volume dans le V de carène sous le pont ( moins ou pas de lisses / varangues / couples ) et d'ainsi réaliser des canotes à cabines et / ou à volumes de rangement important sous le pontage.

Enfin, sans vouloir être "monomaniaque", de par ma longue expérience des SR et en divisant les types de canotes en 3 catégories : plaisance / vitesse / militaires + professionnels (sécurité + sureté en mer ), la 3 eme catégorie est celle qui présente (chez l'immense majorité des industriels ) les meilleures capacités de franchissement telles que définies ci dessus. Cette capacité de franchissement relève de leur vocation même : délivrer des personnels aptes à combattre sur des distances pouvant atteindre les 100 NM par toutes conditions (ou presque). Avec un minimum / pas d'entretien sur les carènes.

Bien sur, un canote de vitesse mis entre des mains compétentes pourra sur un bref laps de temps maintenir une vitesse supérieure ( à un vecteur militaire) dans les mêmes conditions "formées". Mais au prix d'une forte instabilité comme de la nécessité de sortir fréquemment la résine et les tissus.

Bonjour,
Je peux en offrir deux moi aussi, envoyez votre mail en MP

@gil df

Je navigue dans le coin depuis 2005, j'y suis arrivé en 2003.

L'importateur MV est Azur Plaisance à 6 Fours.

Il loue ces bateaux depuis le Brusc ou la Coudoulière. Depuis tout ce temps là, pas quand la mer est calme, car là, tous les bateaux naviguent bien (enfin normalement), mais dès que çà commence à bouger, ces MV passent de manière formidable.
Un peu je te dirai comme un Focchi, et j'ai vu celui d'Urpeko naviguer.

Et pourtant, je crois que c'est JCJCAT qui disait çà il n'y a pas longtemps, quand tu regardes la carène d'un Focchi ''grand public'', elle n'a rien d'extraordinaire de visu. Et bien, c'est la même chose que pour ces MV

Y'a un truc, mais lequel?

Un jour en revenant d'un ''Apéroplanche de la Ciotat'' à l'époque ou je croyais encore aux bisounours, dans une mer qui bougeait déjà pas mal, j'étais avec mon Bat 5.90 et son Vérado 150, puis il y avait un Lomac à peu près identique en longueur et en puissance que le mien, et un MV pareil. Le MV nous a mis la misère ! Et ce n'était pas un manque de puissance, c'est juste que perso, si j'avais voulu suivre, j'aurai défoncé quelque chose, peut-être même ma tête contre la console.
Et pareil pour le Lomac qui n'a pas suivi
C'est depuis cet épisode que mes yeux se portent sur cette marque dès que j'en vois un sur l'eau, j'en vois souvent, et systématiquement, quand çà bouge, le MV perce les vagues sans broncher. Va expliquer çà ? Y'a un truc mais lequel ?
Et qu'on ne vienne pas me raconter des histoires, quasiment sans exception, ce sont des bateaux loués, de là à me dire que les gens qui pilotent ces bateaux soient plus aguerris que d'autres, faut pas pousser pépé dans les orties.

Bien sûr que non que l'infusion d'une coque n'a rien à voir avec sa capacité de passage en mer. A ceci près qu'elle sera toujours bien plus résistance qu'une coque identique stratifiée à l'ancienne.

Oups, on dit et écrit: je canote
Et on appelle une petite embarcation: un canot (que certains prononcent un canote.....surtout dans le sud)

Pour être franc Gil, comme d'autres ici, j'espère te rencontrer bientôt, tes échanges sont des plus intéressants

Bonjour

Je ne vais malheureusement pas pouvoir aller au salon, j'ai 1 ou 2 places a envoyer par mail. Merci de m'envoyer votre adresse mail par MP

@=

Pat9556

@ Marilo 83 :

"Y'a un truc, mais lequel?"

En l'espèce, je n'en sais fichtrement rien !

Cependant, ce que je sais - jusqu'à preuve du contraire - c'est que les lois de la physique sont invariantes de l'espace et du temps. Et qu'ainsi que je me suis déjà exprimé sur le sujet - en raison de cette invariabilité, les capacités de franchissement de tout canote sont conséquentes essentiellement de son dessin de carène ( V à l'étrave / V au tableau AR - 27° mini pour un V "profond"), sa longueur, son allongement comme de son énergie cinétique / inertie ( Masse / Vitesse). Accessoirement, sa rigidité / solidité influera sur sa capacité dans le temps à maintenir une croisière élevée dans le "dur".

Enfin auront une influence sur un SR : la forme comme le volume du flotteur à la proue (résistance à l'enfournement), la hauteur des oeuvres mortes rigides à l'AR (et donc la hauteur du flotteur à la flottaison), effet anti-roulis.

Sur ces considérations invariantes, le talent d'un ingénieur / designer réside dans la combinaison de ces différents facteurs.

Enfin, pour comparer des carènes et en l'espèce la capacité de franchissement, il faut faire abstraction de toute impressions subjectives. Pour les remplacer par des valeurs mesurables : vitesse surface / Mer du Vent + Houle (Hauteur significative, longueur d'onde, période) / angle du cap suivi par rapport à la MdV / houle.

"Pour être franc Gil, comme d'autres ici, j'espère te rencontrer bientôt, tes échanges sont des plus intéressants"

Merci. Aucun problème. J'accepte sans réserve toute invitation à déjeuner. Du moment qu'il s'y boit du Dom Ruinart à l'apéro et un vosne-romanée Au Cros Parentoux Méo Camuzet 2003 avec les cochonailles.

gil df écrit: @ Marilo 83 :

"Y'a un truc, mais lequel?"

En l'espèce, je n'en sais fichtrement rien !

Cependant, ce que je sais - jusqu'à preuve du contraire - c'est que les lois de la physique sont invariantes de l'espace et du temps. Et qu'ainsi que je me suis déjà exprimé sur le sujet - en raison de cette invariabilité, les capacités de franchissement de tout canote sont conséquentes essentiellement de son dessin de carène ( V à l'étrave / V au tableau AR - 27° mini pour un V "profond"), sa longueur, son allongement comme de son énergie cinétique / inertie ( Masse / Vitesse). Accessoirement, sa rigidité / solidité influera sur sa capacité dans le temps à maintenir une croisière élevée dans le "dur".

Enfin auront une influence sur un SR : la forme comme le volume du flotteur à la proue (résistance à l'enfournement), la hauteur des oeuvres mortes rigides à l'AR (et donc la hauteur du flotteur à la flottaison), effet anti-roulis.

Sur ces considérations invariantes, le talent d'un ingénieur / designer réside dans la combinaison de ces différents facteurs.

On nous aurait donc menti ,les Zars ne sont donc pas les meilleurs semi rigides . Cruelle déception .

Bonjour,
je suis interessé par tes deux places au NAUTIC, si c'est toujours d'actualité.

CDLT
MAX

Bonsoir
Désolé pour les places mais impossible de les envoyer je nexsuis plus chez moi