Salut,
L'année du bateau estl'année de construction et ceci est inscrit sur la plaque signalétique. C'est cette information qui est pris en compte pour la côte argus.
Les certificats d'homologation et de jaugeage sont obtenus, lors du lancement du nouveau modèle, c'est-à-dire avec le prototype N°1. Ces certificats sont indispensables pour l'enregistrement (l'immatriculation), mais ne repoussent pas les références 'année du bateau'.
L'assurance d'un bateau en France n'est pas obligatoire. Cela semble l'être dans certains pays comme l'Espagne, par exemple. Je ne sais pas ce qui se passe quand un français veut naviguer en Espagne et n'est pas assuré. Il serait intéressant de connaître l'avis de Bruxelles auquel, théoriquement tous les pays, France comme Espagne sont soumis !
Concernant les risques, si l'on est pas assuré, on assume les risques. Cependant, quand le bateau est chez un concessionnaire ou un réparateur, ce doit être son assurance qui doit jouer. Le produit est dans ses murs et il en est responsable. Si un vendeur veut garder le bateau de son client, c'est qu'il n'a pas la possibilité d'en avoir un par son fournisseur, ou du moins, un bateau avec une facilité de paiement sur plusieurs mois. Alors, la moindre des choses est d'assurer la sécurité de ce bateau concernant sa détérioration et aussi contre le vol. D'autant plus que ce bateau est payé par le client en partie ou en totalité. Faut quand même pas éxagérer ! ! !
Alors, mon conseil est de favoriser, bien entendu, la promotion de ce bateau par ton concesionnaire, mais il faudrait aussi que tu puisses, si tu en as envie, l'utiliser pour l'avoir bien en mains. C'est quand même ta propriété et tu devrais en être quand même prioritaire.
Le commerce est un échange de donnant / donnant. Alors !... la négociation est à double sens.
C'est mon avis.
Salutations
Jean Zellich