SUJET :

Les BWA-istes bordelais retournent leurs vestes ...

www.rib.net/forum/showthread.php?t=6124

Comme quoi, il n'y que les ......... qui ne changent pas d'avis


Cordialement, Philippe

Mais non philippe Olivier ne pastise pas avec la perfide alb....
il fait de l'entente cordiale
positivons

Olivier a certainement fait la part des choses :

1) Aller vite avec un bateau de série dans n'importe quelle condition de mer ...
2) Aller en toute sécurité lors des raids dans des conditions de mer choisies...


Ce n'était qu'une boutade et je pense bien qu'il va vite répondre.


Cordialement, Philippe

Aucune décision ne sera prise avant la fin de l'année...

En parlant de pactiser avec nos voisins d'outre-manche, jetez plutôt un oeil là dessus :
www.rib.net/forum/showthread.php?t=6136

A+ Olivier {AIM: oliv33 / MSN: }

Merci pour ce complément d'information.


Cordialement, Philippe

D'abord, M. Bruno 22, Olivier ne 'pastise' pas...
Le 51° à l'air de t'avoir gravement atteind ...pour essayer d'en faire un verbe du langage courant.



A+ Jean

Bien vu Mr Jean du 33, je vais adopter ce nouveau verbe...

Pour te répondre
Hélas je n'ai guère l'occasion de déguster ce gouteux hydromel
(je devrais écrire hydro-mail.......)

A+

Communauté pneubotiste entamons le chant suivant pour un marin français de bordeaux en perdition

AU TRENTE ET UN DU MOIS D'AOUT
REFRAIN:
Buvons un coup, buvons en deux
A la santé des amoureux
A la santé du roi de France
Et merde pour le roi d'Angleterre
Qui nous a déclaré la guerre

Au 31 du mois d'août
Nous vimes venir sous l'vent à nous
Une frégate d'Angleterre
Qui fendait la mer et les flots
C'était pour attaquer Bordeaux

Le commandant du bâtiment
Fit appeler son lieutenant
Lieutenant te sent tu capable
Dis-mois te sens-tu assez fort
Pour prendre l'anglais à ton bord

Le lieutenant fin et hardi
lui répondit capitaine oui
Faite branle bas à l'équipage
Je va hisser no't pavillon
Qui rest'ra bout sous le vent

Le maître donne un coup de sifflet
Pour faire monter les deux bordées
Tout est paré pour l'abordage
Hardis gabiers, matelots
Braves canonniers, mousses, petiots

Dix vire lof pour lof en arrivant
Nous l'abordions par son avant
A coups de haches d'abordage
De pique, de sabre, de mousqueton
En trois cinq sec je l'arrimions

Que dira-t-on du grand rafiot
A Brest, a Londres et à bordeaux
Qu'a laissé prendre son équipage
Par un corsaire de dix canons
Lui qui en avait trente et si bon