Et revoila posée la sempiternelle question
Tout d'abord il y a moteur et 'moteur'!
Pour mon 40 cv barre franche , je ne me posais même pas la question
Il est vrai que je le prenais à bras le corps et le descendais sans pb à la cave
Mais pour des moteurs bcp plus gros cela commence à mériter réflexion .
Mais tout d'abord quel est le pb ?
En fait on essaie de faire que les 2 'branches' du moteur, (un peu comme un compas) soient les plus solidaires possibles, c'est à dire ne s'ouvrent ni ne se ferment suite aux contraintes qu'elles peuvent subir sur une remorque.
La plaque fixée au tableau arrière ne bougera certainement pas mais l'autre (l'embase) a la facheuse idée de se ballader sur son axe:M:+)
Certains règlent le pb en comptant sur le trim::N-)
Mais son action est uniquement destinée à ouvrir ou fermer ces deux 'branches' dans une position de navigation bien définie.
Le but du jeu est donc, en théorie de 'bloquer ' les deux parties du moteur ENTRE elles!
Pour cela la meilleure méthode que l'on ait trouvée , pour l'instant, est cette fameuse cale de bois qui a deux avantages :
Elle est assez rigide pour tenir le poids du moteur et assez souple pour encaisser les surcharges ponctuelles dues aux irrégularités de la route.
Une cale 'support' existe bien sur certains modèles mais elle n'est là que pour assurer la sécurité quand le moteur est relevé !
D'ailleurs dans le manuel du moteur il est bien stipulé de ne pas la mettre en roulant.
Autre avantage non moins négligeable : elle n'est pas chère du tout et chacun peut la façonner à sa façon avec en prime un petit lien qui permettra de ne pas la perdre sur la route:a{b)
Solidariser le moteur avec une partie de la remorque (plaque des feux arrières, par exemple) a l'énorme défaut de 'renvoyer ' le choc inélutablement vers le seul point d'appui , j'ai nommé l'axe de relèvement du moteur et à terme de le fragiliser (c'est d'ailleurs le même problème que de monter des 'flaps' au niveau de la plaque anti avitation qui , en cas de mer formée, démultiplie et concentre toutes les contraintes vers ce point névralgique.
Je ne parle même pas de ceux qui roulent avec des moteurs baissés au raz du bithume. Le jour où ils 'toucheront', ils n'auront plus que les yeux pour pleurer
mais comme d'hab, chaun est libre de faire ses propres expérience et d'en assumer les conséquences.
Meltem 74