SUJET :

Bonsoir,

voici la problématique, je dois fixer le support de mon radeau de survie mais l'idéal serait a l'l'horizontale pour garder de la place derrière les jockeys. Le faire n'est pas le problème mais avec quelles fixations.

Les images pour mieux exposer le problème.




Reprise sur le tubes des dossiers de jockeys je vois ce qu'il faut faire mais au niveau du pont je sèche!

T'avais qu'à acheter un Narwhal.. Au moins tu ne t'exciterais pas le neurone pour une telle question !!

un sac sur un sr c' est plus pratique mais bon visiblement c'est trop tard

Pour la fixation sans voir sur place (vu que je ne connais pas ton sr ) ???

Des " U " avec des sangles !!!??? des pontets plats

bonsoir,

Et bien moi cela ma tellement pris la tête lorsque j'ai changer de bateau, cette histoire de survie, que j'ai finit par trouvez une solution économique, rapide, et en ne perdant ps trop de place dans mon aménagement, mais ce la na pas été facile !
Mais enfin ! une fois !



Bon courage

doumes écrit: bonsoir,

Et bien moi cela ma tellement pris la tête lorsque j'ai changer de bateau, cette histoire de survie, que j'ai finit par trouvez une solution économique, rapide, et en ne perdant ps trop de place dans mon aménagement, mais ce la na pas été facile !
Mais enfin ! une fois !

Bon courage

En LOA pas possible!

Bon pour le SR je suis pas competent mais pour moi en voilier c était un support en berceau qui permet au "Bib" de s'echapper fcailement en cas d echavirage naufrage avec des fixations a pastille de sel ou type percuteur hammar comme nos gilets:
La place du radeau de survie dans le bateau :
•Une mise à l’eau facile :
Pour faire face à ces cas d’extrême urgence, il est nécessaire de prévoir un stockage du radeau permettant une mise à l’eau très rapide, même avec un équipage physiquement diminué. Ceci exclue donc le rangement au fond d’un coffre qui va demander vingt minutes à deux piliers d’équipe de rugby pour dégager le radeau et l’extraire…

Certaines solutions d’emport répondent à ce critère (par exemple radeau à l’extérieur du balcon arrière ou sur la jupe), mais le risque de voir le radeau emporté par une déferlante est réel. Ce point doit donc être mûrement réfléchi.

Heureusement, on voit apparaître de plus en plus sur les bateaux des solutions astucieuses et bien adaptées (par exemple Oceanis 31 ou SO 30i).

Un chiffre souvent cité est que la mise à l’eau doit être possible en 15 secondes.

Il convient aussi que cette mise à l’eau soit possible sans équipement supplémentaire (pas de sangle à couper ou même cadenas à ouvrir (vu !)).

Dans les autres cas, il est possible de préparer cette opération plus calmement, notamment de rassembler le matériel à emporter (grab-bag, balise, documents) et de le sortir dans le cockpit (en l’assurant par sa longe sur un point fixe).

La mise à l’eau proprement dite doit être effectuée au dernier moment, le risque de voir le radeau endommagé par collision avec le bateau étant important.

Si ce n’est pas encore fait, capeler les gilets de sauvetage.

Si ce n’est pas fait en permanence (recommandé) fixer la drisse du radeau à un taquet ou point d’amarrage solide (ça parait bête, mais il y a eu des exemples de radeaux jetés à l’eau et partis à la dérive…).

Le radeau doit être mis à l’eau sous le vent, en essayant d’éviter tout obstacle (par exemple gréement en cas de dématage).

•La percussion du radeau :
La solution classique vue sur la plupart des films est de mettre le radeau à l’eau, le laisser s’éloigner et percuter la bouteille en tirant la drisse.

Une variante qui m’a été montrée par un instructeur est de délover la drisse à bord jusqu’à la marque d’alerte, en général à un mètre du bout (la drisse est très longue : 9 m mini pour la norme ISO, 12 m souvent), de l’assurer assez courte, puis de mettre le radeau à l’eau et percuter immédiatement : ceci permet d’éviter d’avoir à haler le radeau par la drisse pour embarquer, ce qui peut être très difficile vu le faible diamètre du cordage et la prise au vent du radeau si le vent est très fort (les démos sont rarement faites avec 60 nœuds de vent).

pour la suite suivre le lien;
www.plaisance-pratique.com/la-mise-a-l-eau-du-radeau
Bonne reflexion

Merci a tous de vos avis;

je viens de voir un chaudronnier qui va modifier le berceau du radeau afin de faire un montage fiable et garder la facilité de mise a l'eau qui j'espère n'aura jamais lieu.

Il va confectionner des étriers sur mesure en 316 L

A chacun sa méthode ..
Je ne parlerai pas de celles employées sur les voiliers et grosses unités, cela ne nous concerne pas ...

En outre n'oublions pas que bien souvent , même crevé quelque part, la meilleure chance de survie est de rester sur son SR qui possède généralement 6 caisson étanches...

En fait, tout comme les gilets, le radeau de survie n'est emporté, chez nous, qu'en cas de navigation "hauturière".

Et même sous pavillon Belge !!

Il est généralement stocké au fond d'un coffre et n'est mis "à poste" systématiquement par nav de nuit et lorsque l'on entreprend une grande traversée ou que l'on sait que les conditions vont être "pêchues".

Dans ce cas le radeau est installé directement sur le pont avec sa drisse "frappée" sur un élément fixe du bateau .(Main courante par exemple)
En cas de retournement du SR, le radeau ( 27 kg) coulerait instantanément et arrivé en bout de drisse celle ci percuterait faisant remonter le tout à la surface ...

La récupération est alors facilitée par la drisse attachée au SR et l'usage d'un couteau pour le libérer ( tjs à poste lui aussi ) est largement conseillé

En 8 ans de "grandes" nav nous n'avons ,heureusement , jamais eu besoin de nous en servir..

mais soyons attentif car "on ne connait ni le jour ,ni l'heure" ...
Où l'on en aura besoin

meltem 74 écrit: A chacun sa méthode ..
Je ne parlerai pas de celles employées sur les voiliers et grosses unités, cela ne nous concerne pas ...

En outre n'oublions pas que bien souvent , même crevé quelque part, la meilleure chance de survie est de rester sur son SR qui possède généralement 6 caisson étanches...

En fait, tout comme les gilets, le radeau de survie n'est emporté, chez nous, qu'en cas de navigation "hauturière".

Et même sous pavillon Belge !!

Il est généralement stocké au fond d'un coffre et n'est mis "à poste" systématiquement par nav de nuit et lorsque l'on entreprend une grande traversée ou que l'on sait que les conditions vont être "pêchues".

Dans ce cas le radeau est installé directement sur le pont avec sa drisse "frappée" sur un élément fixe du bateau .(Main courante par exemple)
En cas de retournement du SR, le radeau ( 27 kg) coulerait instantanément et arrivé en bout de drisse celle ci percuterait faisant remonter le tout à la surface ...

La récupération est alors facilitée par la drisse attachée au SR et l'usage d'un couteau pour le libérer ( tjs à poste lui aussi ) est largement conseillé

En 8 ans de "grandes" nav nous n'avons ,heureusement , jamais eu besoin de nous en servir..

mais soyons attentif car "on ne connait ni le jour ,ni l'heure" ...
Où l'on en aura besoin

Bonjour Alain,

comme je serai souvent a + de 6MN il restera a post. Mon problème n'était pas de pouvoir le libérer ultra rapidement mais de fixer son berceau sur le SR.

J'avais parfaitement compris , Bod

mais justement le principe d'un radeau, sur un SR c'est de l'avoir tout de suite "sous la main" en cas de retournement du boat

Donc pour cela il ne faut pas qu'il soit attaché !!!

Je rejoins l'ami F3D qui a une certaine expérience en "hauturier" pour penser que sur nos SR, le radeau en "sac" est bien préférable..

Tu peux le coincer sans problème là ou tu veux , quand cela est nécessaire ..

J'aimerais pas être à ta place quand, ton SR retourné, il te faudra aller le "défaire" de son berceau

maintenant, je te l'accorde, un beau radeau en container, coté "look" c'est vrai que c'est plus joli

meltem 74 écrit:

En cas de retournement du SR, le radeau ( 27 kg) coulerait instantanément et arrivé en bout de drisse celle ci percuterait faisant remonter le tout à la surface ...

Bonjour

Le radeau en container ne coule pas et celui en sac doit flotter au minimun 30 minutes (sans être percuté).

Hello je confirme par experience et regardez les videos de naufrage les bibs flottes tous autour d el epave

les bibs "FLOTTENT" tous pardon

Ok, il flotte

Alors c'est encore mieux

mais cela ne résous pas le pb d'aller le décrocher à l'intérieur de la coque retournée...

Car nous sommes bien d'accord, dans tous les autres cas ( sauf incendie à bord) il ne faut surtout pas quitter le SR qui flottera quoiqu'il arrive ??

bon en SR je connais pas mais 1971... naufrage en voilier perte de la quille/lest....he oui donc le bateau ce retourne comme une crépe et tous a l'eau (4 personnes )en novembre Mer du nord...
Le bateau ne coule pas , sommes a son franc bord accroché...Le bid apres qqs minutes est sortie de son berceau, situé sur le pont, tout seul !!!!Pourquoi comment je sais pas mais cela n a pas servi un autre bateau qui ns suivait ayant vu l incident ns a recuperer...Ps personne n avait de brassiere lors du naufrage soudain bien sur...