Merci Pascal de relancer sur ce post.
En effet, notre mouvement dans le Sud va prendre forme, ce n'est plus qu'une question de temps.
L'objectif sera la défense de nos intérêts de plaisanciers,
dans le respect de la charte type de l'AUCME,
tous plaisanciers sur remorques confondus, dans le plus grand pacifisme qui puisse être ; Mener un combat, oui, partir en guerre, non.
Je rapelle les quelques points qui vont nous animer :
- Etre représentatif pour avoir de l'info sur les installations des cales
- Sauvegarde des cales
- Arrêt des fermetures
- Création de nouvelles installations
- Solutions adaptées pour les parkings.
- Accès libre à la mer mais signifiant surtout la possibilité de Mise à l'eau, Mise à terre 24h/24.
Pour celà, nous rencontrerons les interlocuteurs et les décideurs de gestion de nos cotes, ce n'est là aussi qu'une question de temps.
Concernant la gratuité de nos cales :
Il est clair qu'en PACA la gratuité est un luxe qu'il sera de plus en plus difficile de se payer. Le jour où nous présenterons notre démarche, il ne faut pas que cette gratuité entraîne un débat perdu d'avance et qu'elle nous soit renvoyée au visage par nos interlocuteurs en fermant ainsi toute forme de discussion. Ce sera un point de plus à développer, voilà tout.
Concernant notre lien avec l'AUCME :
Nos amis bretons ont le large mérite d'avoir lancé une affaire très constructive. Nous sommes en cours de recherche sur la forme juridique que prendra notre représentation d'une
Association NATIONALE en Méditerranée, là aussi ce n'est qu'une question de temps.
Nous sommes prêts ensuite à diffuser de l'info, quelqu'en soit le mode, auprès de tous les plaisanciers et des professionels.
Pour être représentatif, il faudra être 'quelques-uns'.
Nous nous sommes rencontrés à trois, nous attendons le retour du président pour connaître les autres inscrits en PACA.
Adhérez aussi massivement à l'association que ce que vous l'avez fait pour la signature d'une pétition sur ce site un jour !
Arrêtons de nous plaindre, passons à l'action.
Avec toute ma sincérité,
Joël
Bicou : comme un tchichou, mais pas pareil...