Heu.. pas vraiment d'accord avec les réponses ci-dessus (ou alors je ne suis pas très réveillé).
Pour mon immatricualtion, je me suis aussi basé sur le dossier PARFAIT du
Cap Braise :
(extraits choisis)
Inscriptions sur le navire immatriculé en Belgique :
Seuls le nom du bateau en toutes lettres et le port d'attache en toutes lettres sont à marquer visiblement sur le bateau. Il n'y a pas de numéro d'immatriculation comme en France.
Marques d'identification
Toutes les marques d'identification sont à apposer par le propriétaire (peinture, lettres autocollantes ...). Ces inscriptions doivent être parfaitement lisibles et indélébiles d'une couleur claire sur fond sombre ou d'une couleur sombre sur fond clair.
Port d'attache :
Au niveau de la navigation maritime, pour la lettre de pavillon, il faut inscrire le port d'attache du bateau sur la poupe ou si cela est impossible, à l'arrière sur les deux flancs, en lettres contrastant avec le fond.
Nom du bateau :
Au niveau de la navigation maritime, pour la lettre de pavillon, il faut inscrire le nom du bateau sur la poupe ou si cela est impossible, à l'arrière sur les deux flancs, en lettres contrastant avec le fond.
Conclusions, j'ai fait apposer à l'arrière (et uniquement à l'arrière) du ZAR des lettres autocollantes noires :
KOUFIG (taille... pas très grandes mais très lisibles)
Sciez (taille.. un peu plus petites mais toujours lisibles)
De plus, je me suis fait arrêter 2 fois ce weekend et nos compatriotes gendarmes n'ont rien trouvé à y redire :
- sur l'eau, 2 gendarmes en zozo trouvaient étrange l'association 'pavillon Belge et pavillon Breton avec absence d'immatricuation'
Nous avons simplement précisé que le pavillon Belge était issé au nom de l'embarcation et que le Gwen ha du était issé au nom des individus à bord.
Cela a parfaitement convenu aux gendrames avec qui la discussion a pu se poursuivre, non pas sur un contrôle fastidieu des dates de péremption des fusées ou du nombre de gillets présents à bord, mais par une discussion constructive sur l'état de la mer, les spésificités de la cote avoisinante etc...
Un controle utile donc et vécu comme une protection non pas comme une contrainte (alors que sous pavillon Français j'aurais peut-être eu le droit au débalage sur le ponton donc le sentiment aurait été tout autre).
Idem lors d'un controle routier par des motards à l'entrée de la calle d'hyères.
Breton immigré au Lac Léman